22 sept. 2010

Liberian Girl




Un monstre en poil de vêtements et en plume de papiers vit dans la chambre. Un bordel s'amasse autour, seul un chemin subsiste, de la porte au lit. Dedans on n'y voit plus rien.

Deux bols de céréales journaliers; la base de son alimentation.


Aile / Elle / L est un pôle, soit ils la détestent, soit ils l'adulent. Et moi je ne leur fais ni chaud ni froid.
Après la torpeur vient la lucidité.

Je flotte dans les mortes eaux.

Musique de dépressif pour appuyer le tout. Je plongerais bien dans mon nombril pour malaxer et rendre compacte la boule purulente cachée dans mon plexus solaire. Je viendrais vomir les restes de ma soirée chez vous, tout ira pour le mieux.
Merci de vous en soucier.

Pense avec ton pénis, comme toujours.






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