20 avr. 2010

Relativité



Un volcan... sacré bonne excuse !
Tanpis.

A la place d'une partie de la grande bretagne je découvrirais une partie isolée du groupe nominal.

On ne démonte pas mes amis, je vais savourer ces vacances et croquer la vie à pleines dents.

Photo : Luc Choquer

19 avr. 2010

A la tienne Etienne


Loin de là l'idée de me comparer à un personnage de série télévisée mais il faut dire que j'ai du John Cage avec moins de tocs, du Ally McBeal avec moins de niaiseries vomitives et d'obsession sur le grand amour et du John Dorian avec moins de... rien.
Le point commun est une imagination un peu trop débordante et un désir d'aimer plus fort que le nuage de fumée qui empêche mon départ en Ecosse. Ce n'est pas exactement le même imaginaire que je partage avec les deux premiers car je sais distinguer réel et imaginaire et que je ne chante pas du Barry White pour me donner confiance même si il faut le dire après test, ça marche. Mais je m'enferme un peu parfois dans mes fantasmes, ça me rassure, je vis une relation torride avec le spectre de l'homme auquel je pense mais j'entretiens à cause de cela une relation très platonique avec l'homme sur lequel je fantasme. Ce qui n'arrange pas mes affaire c'est que je suis un coeur d'artichaut, mes amis. Après une folle danse plein de flirt et d'envie avec un bel homme même si ce moment est éphémère et n'a aucun sens pour le futur je me repasse en boucle le film de cette soirée magique aux accents bucoliques, mélodiques, nostalgiques et mélodramatique jusqu'en éprouver un instant de bonheur suivi d'un instant de frustration intense du au fait qu'il n'est pas vrai. Pendant des jours je vais me créer des scénarios magistraux où ce beaux mâle viendra me rejoindre en courant jusqu'à la gare pour me dire qu'il m'aime et qu'il veut que je reste encore un peu (pour bien sur ne plus nous séparer). Je déballe tout voila c'est dit. J'ajoute pour justifier ma confession honteuse que je suis au summum de ma niaiserie dans mon imaginaire donc personne n'en pâtit sauf de temps à autres mes amis qui doivent supporter mes plaintes sur mon manque d'amour et de Sexe. Et voila donc le deuxième point abordé, je suis pas totalement niaise car aussi dans mes fantasmes je vois du sexe cru et bestial sans un mot prononcé et toujours sur des toilettes débordantes de vomis (et ça c'est pour la partie trash qui justifie aussi le fait que je ne suis pas totalement cul cul).

Bref un petit partage de l'intimité de ma folie chronique mais croyez moi (comme si vous étiez une myriade de petites gens, dans le beau sens, lisant cet article) je ne me crois pas différente et anticonformiste pour autant chacun à son fardeau à porter je vous l'accorde.

9 avr. 2010

DECOMPTE



SCOTLAND : J-10

BERLIN : J-46
SUMMER HOLIDAYS: J-56
ROAD TRIP: A-1


Mon enthousiasme se révèle quand je pense à mes futurs voyages. L'avenir m'excite toujours autant. J'entretiens ce rapport, on pourrait appeler cela la nostalgie du futur. Avant j'entretenais ce rapport avec le passé.

Dans ce cas où est mon rapport avec le présent ?

Ce rapport n'est ni bon ni mauvais, il est.
Je profite des bons moments sans trop y réfléchir.
Je pense trop et j'espère peut être trop du futur, et cela me fait voir, trop souvent, le présent banal.

Mon écriture est trop convenue malheureusement, quand le moment sera le bon je ferais un texte plus fou, plus vrai, moins retenu, plus drôle et plus intéressant. En attendant je vais aller à mon premier cours de code, car c'est cela qui me rapproche du grand voyage.