3 mars 2010

Valley of Neptune


L'écriture devient difficile et si les concepts fumeux de l'art contemporain n'ont pas déjà détruit mon cerveau, je peux m'estimer chanceuse.
A cette heure si tardive, je n'ai aucune idée de ce que je fais encore à retourner des questions idiotes dans ma tête, mais bizarrement je m'y accroche. Me questionner est mon passe temps favoris, ça j'en ai bien peur. Les pensées obsessionnelles que j'ai la nuit sont comme les vilains pâtés de sable que les enfants construisent sur la plage et qui ne donnent qu'une envie; lancer un coup de pied dedans, mais pas par politesse, par bienséance ou bien par lâcheté et par peur on ne le fait que quand les parents et enfants on le dos tourné, détruisant une oeuvre personnelle et remplaçant ainsi le rôle primordial de la nature et du temps.

Digression

A un moment tu t'amuses avec une amie à faire une liste d'actions farfelues, banales ou spontanées et ensuite tu te retrouve a embrasser un inconnu un peu farfelu lui aussi dans le métro, cette action étant dans la fameuse liste ? Mais où est passé le hasard ? Les coïncidences parfois m'étonnent, on appel cela la loi de l'attraction.
Maintenant il ne me reste plus qu'à prier pour qu'une montgolfière se pose sous mes yeux, histoire que j'atterrisse dans un champs de coquelicot, que je danse autour d'un feu toute nue en avalant des champignons hallucinogènes et qu'ensuite je me ballade en forêt sur le dos d'une licorne pour rejoindre mon doux amour Zach Braff sur une plage de sable fin.
Je dis ça, je ne dis rien...

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